Rachel, ma sœur de 7 ans mon aînée, est à la base de cette recherche que je suis venue faire ici. Sa disparition dans ma vie et le manque dorénavant dans mon quotidien de tellement de choses que je croyais acquises m'ont amenée à regarder autrement la société validiste dans laquelle nous vivons. De fil en aiguille, je me suis posée des questions sur les mythes que nous créons pour survivre et comment pour éviter qu'ils ne deviennent de nouvelles prisons, nous pouvions les garder vivants. C'est pourquoi je me retrouve aujourd'hui à questionner de façon très personnelle sans doute: la gestion des singularités par les deux sociétés que j'ai le plus fréquentées et puis aussi ce que peut vouloir dire le sentiment d'appartenance à une nation et/ou à l'Europe.
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